Resident Evil -Voir condition-

Spoiler:

Oh, la France. J'aimerai pouvoir vous dire comme ce pays est beau, mais c'est faux. Car une pays n'existe pas avec le virus T. Pour être plus précis, plus rien n'existe. La planète, avant appelée Terre, ne peux être maintenant que Zombieland. Umbrella croyait tout contrôler. Mais cette organisation avait tord. Et maintenant, quelques survivants se débattent pour rester en vie.

Ça doit être pour ça que nous somme seulement cinq dans une petite voiture, alors que des Zombies nous Sprint au cul. À croire que nous sommes les seuls cascroutes présents!

Quatre casse-croute dans une voiture. Sa résumait parfaitement bien la situation.
Nous venions de recevoir un appel d'Antartiqua qui n'avait pas émis depuis plusieurs semaines et je pense que nous avions la dernière voiture sur terre qui roulait encore !!!!!
Alors voilà, une certaines "Alice" demandait à tous les survivant de se rendre à Antartiqua pour ce préparer à l'affrontement final...

[J'ai le droit d'etre dans la voiture avec toi et Day?]Je m'inscrit a se Rp xD

( Ouiii! On est cinq dans la voiture, maintenant! )

[je peux commencer a raconter ou pas?]

[Ouiiiiiiii]

On était 5 dans une petite camionnette...Je commançait a charger mon revolver quand un bruit sur le plafond surgit.
Une main Sanglante et sans peau apparrut devant mes yeux!!Je prix mon revolver et je lui defonca la main.
Nous etions en train de subir une Attaque (Non pas possible xD)et je prix mon revolver (pour la 2eme fois xD) mais cette fois si a deux main et je commenca a tirer sur le plafond, seulement il y en avait partout alors je cria a Kiara :
"Avance met les Gaz!!!!!"

-C'est trop marrant ces cons de zombies nous sprint au cul ! Cria la grande blonde en accélérant de plus belle. Elle avait toujours aimé voir un zombies , même sans jambes, courir pour les rattraper. Elle trouvait cela tordent... Et elle devait être la seule!
Maintenant, les zombies sautaient sur la voitures, défonçant le toit. Mag (j'té donné un prénom au pif! ^^), qui se trouvait près de la fenêtre ouverte poussa un grand cri quand l'une de ces horreur passa la tête. Elle hurla un grand "AAAA LES NOUILLLLAAAAA" Et tira sur la tête du zombie, qui explosa. Le corps fut propulsé par l'explosion.

( Cinq? Pk cinq dans la voiture? Bon on va dire quyen a un autre en plus, qui va crever! )

Moi je regardais par la fenêtre arrière, et vis un gros zombie obèse. J'explosai de rire en le voyant nous courir après. Toujours mort de rire, je lui tira une balle de fusil à pompe dans le ventre, ce qui le fit exploser, et moi de rire.
Notre camionnette grise, était très grande, et équipée d'une mitrailleuse grand format, sur le toit. Aussitôt je me leva et monta sur la toit, pour leur tirer dans leur poire. C'était tordant. Mais tout les plaisirs ont une fin. Je n'avais plus de balle.

( J'adore ton "texte", surtout la fin ! XD )

Tout plaisirs ont une fin. Dommage, car Mag' commençait à s'amuser. Kiara, qui elle était en train de s'étrangler de rire, à force de voir ces zombies sprinter, avait laissé sa place au volant à Daimons qui fonçait, tel un champion en fin de cours, voulant décrocher le premier prix. Le premier prix, ici, était sa vie. Donc oui, il pouvait foncer!
Alex descendit, l'air morose du toit. Il était triste. Il n'avait pas pu tous les terminer.

J'appuyait a fon sur l'accélérateur puis d'un petit coup d'oeil j'ai regarder l'écran qui afficher :
150 Km/h
Puis je regarda a coté et la, surpris, je vit le panneau essence vide...
Puis la voiture s'arreta :
"_Sortez tous de la voiture, criai-je, elle n'as plus d'essence on est dans la BIP courez j'ai reperer une maison on on pourra s'abriter!!!!
(Scuser moi pour les fautes d'orthographe...)

Merde.
Je chargea les deux pistolets qui me restait et embarca aussi une Mg42 (L). on sait jamais.
Les zombies étaient tous proches, on voyait déjà leur corps affreux se dessinant sous le soleil chaud. Une douleur dans le ventre. J'avais peur, je ne voulais pas bouger, je voulais rester ou j'étais. Mais l’adrénaline eut le dessus et mes jambes se mirent à s'activer. Vite. Encore quelques mètre et j'allais atteindre cette maison... Mais à quoi bon ? Une fois dedans, ils continueront d'essayer d’entrer. Et on mourra tous.
Plan à la con.

Nous entrâmes et verrouillâmes toutes les issus. Ils arrivaient. Nous mîmes même des scotch sur les fenêtre et barricadâmes les portes. Un long silence suivit. Chacun attendait, prenant conscience que c'était peut-être la fin. Nous entendions seulement nos respiration, lente pour certains et plus rapide pour d'autres; ainsi que des grognement lointains qui s'approchaient peu à peu. Il nous restait seulement que deux armes à feu et un hache que nous avions trouvé dans la petite maison en arrivant. Je scruta chacun de mes "compagnons" et me rappela notre rencontre. 12 heures plus tôt...

Je venais de sortir de l'avion. Après de longues heures passées dans les transport j'étais enfin arrivée à destination . Je récupéras ma valise et appelas un taxi en sortant de l'aéroport . Il m'emmenas à l'Hôtel le plus proche où je prit une chambre. Le soir, en m'endormant, j'ignorais encore ce qui ce passait et ce qui allait ce passé...

J-3. Aéroport de Kennedy, New-York.

-Kiara I Looove you !

-And i love you too !

Elle avait mit ce beau manteau rouge pour l'occasion. Elle allait
quitter Manhattan. Cette décision n'avait pas été facile à prendre, mais
il fallait se rendre à l'évidence : Si Kiara aimait New-York, New-York
n'aimait pas Kiara. Aucuns de ses espoirs, de ses rêves, de ses plans ne
s'étaient jamais réalisé dans cette ville. C'est pour ça qu'elle prennait l'avion pour paris.
La salle d'embarcation allait se fermer et, serrant une dernière fois
son petit ami Américain, s'engageant vers l'avion qui n'attendait plus
qu'elle. Elle savait qu'elle ne le reverrait pas. Les relations à
distances, ça ne marchait pas. Elle allait débuter son boulot d'avocate,
dans un nouvelle ville, avec une nouvelle vie.
12 heures de vol sans encombre et la voilà enfin arrivée en France. Elle avait loué un appartement dans Paris, à côté de l'entreprise où elle travaillerait. On lui avait dit que les Croissants Français était exquis, mais elle avait plutôt pensé à s'installer près d'un MacDonald. Les frittes, les bons Hamburger.. Que du bonheur.
Elle sortit enfin de l'aéroport, après 20 mn de chargement de bagage. Au mins, En Amérique, tout allait beaucoup plus vite. Elle regrettait déjà son choix. Tous ses amis étaient là-bas ! Ici elle n'avait personne. Juste un petit appartement et un boulot d'avocate.

Je ne comptais pas rester longtemps à Paris. Juste le temps nésséssaire pour faire ce que j'avais à faire...
IL ( non pas Siisii !!!En fait... Si! C'est Siisii !!!!!!!! Et ouaiiiiiiiis ! Je travaille pour luiiiiiiieuh !!!!) m'avait clairement dit ce que je devais faire. Et je DEVAIS le faire . IL m'avait donné un flacon. UN SEUL. Mais un seul suffisait. Demain, le monde changerait. Demain, nous serons dans une nouvelles ère.

J'étais en stage dans une entreprise au Japon. Quand j'ai reçu un mail d'un vieil ami d'enfance qui disait qu'on avait besoin d'aide dans un hôpital à Paris. J'ai accepté directement même si je devais quitté 3 année de travaille de biologiste. Je quittait ma petite amie et mes amis mais vu son messages cela avait l'air important. Donc je quittait l'aéroport de Tokyo sans savoir ce qui allait se passer.

IL, était riche et puissant. IL voulait faire une expérience depuis des années, mais l'État lui avait formellement interdit, en vue des conséquences, qui pourraient facilement décimées la population mondiale en moins d'une semaines. Je ne voulais pas diffuser le virus. Mais je le devais. IL, avait des otages. Et si je ne faisais pas ce qu'IL voulait...kouïk! J'avais donc interrêt à lui obéir, et rapidement, si je ne voulais pas qu'ils avalent leurs chiques...

L'appartement était magnifique. Situé en plein cœur de Paris, avec une vue imprenante sur la tour Eiffel, Kiara avait beaucoup de chance. Son père était un avocat réputé en Amerique, bien qu'il ait des origines française. Elle voulait être comme lui, mais ça semblait plus difficile que prévu. Son père lui donnait de l'argent, lui payait les loyers, les beaux appartements, bien qu'il ne se parle plus depuis des années. Le viel homme se disait déçu de sa fille. Déjà, il voulait un garçon. C'est pour ça qu'elle avait été élève comme tel. Mais maintenant elle voulait qu'il accepte. Qu'il arrête de dire à ses amis qu'elle était dans le coma, pour ne pas leur révéler que sa fille avait une carrière qui restait au sol, qui ne décollait pas.
Kiara décida d'aller s'offrir un bon restaurant. le resto' que son guide lui avait conseillé, se trouvait dans un hôtel. Peut-être pourrait-elle louer une chambre là-bas, seulement pour la nuit, pour oublier son ancienne vie et tout recommencer à zero. Son téléphone sonna. C'était son petit ami. Elle laissa snner. Elle ne devait pas décrocher, elle devait rompre tout lien avec lui, mais elle s'expliquerait plus tard. D'abord, elle avait faim.

[heum...je comprend pas le sujet qu'est-ce qu'il faut dire en faîtes???!]

( lundi, 9h10, Récré. )