Les quatres éléments

Le RP est crée!!!!

Je m'appelle Gwenaëlle Lukay, j'ai 16 ans et je suis ce qu'on pourrait appeler "une gosse de riche" et riche aux singulier car (malheureusement ou heureusement j'en sais rien ...) je ne connais pas mon père. "Tu le sauras le jour de tes dix-huit ans ! " avait dit ma mère la première fois que je lui avait posé la question. J'avais 9 ans ... Et depuis je compte sans cesse les années me rapprochant de la vérité...
Non que je sois à plaindre ! Loin de là ! Mais disons que la vie d'une fille d'actrice mondialement connue ( qui gagne de l'argent ) n'est pas facile tous les jours ! Ma mère est rarement là, elle ramène presque un copain tout les mois et la plus longue relation qu'elle est jamais eu depuis mon père est celle qu'elle entretient à l'heure actuelle avec un PDG New-Yorkais : William Spencer ... Peut-être deviendra-t-elle la future Madame Spencer ... mais pour l'instant elle tient à son nom comme elle me l'a confié y'a quelques jour ...
Elle passe de son temps aux sorties mondaines où l'emmène William et bien sûr sur les plateaux de tournages !
Elle est chez nous à Los Angeles la plupart du temps mais comme tout acteur ou actrice quand elle tourne à l'étranger, elle ne peut pas faire Paris-Los Angeles tout les soirs et il m'arrive parfois de ne pas la voir pendant 6 mois ... Parfois elle me manque mais disons que j'y suis habitué car même quand elle est dans les environs, je ne la vois pas tout les jours !
Mais un des avantages d'être sa fille c'est que les salles de tournages me sont (presque) toutes accessibles et que je parle parfois avec des acteurs qui déchaînent les foules ...

( Vu que je suis la seule (avec Yuyu') qui vit pas en Amerique, je vais aller sonner c'est Chay' ! )

Je vivais en Allemagne, dans les recoins sombre de la capital, Berlin. Ma mère était strip-teaseuse dans un cabaret et mon père, qui était en prison, était trafiquant de drogue. Ça ne m'avait jamais dérangé. Grâce à eux, j'avais appris à me servir de mon corps, du maquillage et la plupart des dealers me connaissent depuis que j'étais toute petite. Je risquais moins que ces petites gosses de riches des banlieues tranquilles.
J'allais au lycée du quartier. Pas trop miteux, un bon niveau, les profs étaient assez sympa. Je parlais 4 langues. 5, en contant le Latin qui j'avais fait pour approfondir mon Francais. Englisch, Italienisch, Französisch und Deutsch. Je voulais devenir premier ministre, comme Angela Merkel que j'admirais beaucoup. Je savais tout sur tout, je comprenais le problème de L'état envers les jeunes et les banlieues. Mais une école pour devenir premier ministre, comme l'Ena en Français, coûtait cher.
Ma mère, avait été élevé dans une famille riche, les Liveleight. Elle s'était fait radiée du testament, pour s'être marié avec mon père et pour m'avoir conçu. Merci la famille, belle accueil.
Pour eux, elle n'existait plus, je n'existait pas. Mais peut-être qu'en renouant les liens... J'avais besoin de cette argent pour financer mes études. Je n'étais pas riche ! Et aller dans une école spécialisée, avoir un appart tout près, manger, s'acheter les vêtements necessaires... Tous ça, c'était cher. Tout le monde connaissait les Liveleight ! Ça sonnait comme Paris Hilton, la riche héritière. Mais personne ne les connaissait vraiment. Des gens capables de rayer une adolescente de leur vie, juste pour avoir épousé l'homme qu'elle avait aimé. Quoiqu'il en soit, j'étais de leur famille, j'avais le même sang. Personne ne pouvait oublier ça. Enfin je le croyais... C'est pour ça que j'étais en Amérique, pour aller sonner chez eux. Un homme grisonnant m'ouvrit. Le majordome ?

-Bonjour, puis-je vous aider ?

Le majordome.

-Je voudrais voir M ou Mmd Liveleight...

-Ils sont absents pour le moment.

-AALBBERTT QUIIII C'ESSTTTTTT ?

Un fille de mon âge poussa le prénommé Albert, pour me faire entrer. Elle était grande, rousse, belle. Le genre de fille qu'on a envie de tuer, même si on la connait pas, juste pour ce physique parfait.

-Hell... Bonjour, je m'appelle Ashley et je suppose que je suis votre... cousine.

Elle écarquilla ses yeux et sourit. Elle m'entraina vers sa chambre. Peut-être s'en foutait-elle de ce que je venais lui dire. On aurait dit une gamine qui voulait absolument jouer avec la nouvelle arrivante. Peut-être qu'elle s'en foutait de moi, de ce que j'avais dit, elle semblait juste vouloir "jouer" avec moi parce qu'elle s'ennuyait avant mon arrivée.

June, 17 ans aujourd'hui, s'attendait au moins à la venu de sa mère. Cette même mère qui était une célèbre top model japonaise. Nikita Itamiya. Qui ne la connaissais pas? Sa propre fille. Cette même fille qui en voudrait toujours a ses parents de l'avoir abandonné. On ne peux pas dire que June ne connais pas sa mère, mais plutôt qu'elle ne sais rien de son comportement, de son caractère et d'un tas d'autre choses la concernant. La jeune fille voyait sa mère une fois par ans et elle l'avait au télephone à peine dix minutes tous les trois mois.

Le père, Dan Liveleight, était le grand patron des luxueux hotels "The MarySo"* dans lesquels on ne voyait que la jetset. Ce même père voyait sa fille Une fois par ans et ne pouvait l'avoir au télephone que dix minutes tous les trois mois. Comme sa mère, en gros.

June était rentrée de son lycée -qui était LE lycée le plus réputée des états-unis- tôt dans l'après midi car elle pouvait ce permettre de sortir à n'importe quelle heure grâce à son rang. Elle avait prévue de partir passer un week-end dans sa propriéter au Japon en compagnie de sa mère mais cette dernière avait un empechement... Un défiler au Danemark. La jeune fille ne fût avertie que 2 minutes avant que l'on frappe à la porte de sa villa.

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- ALLBERRT! QUUI CC'EESTT??!! Avais-je crier avant de sortir de mon uniforme scolaire pour entrée dans une robe prise au passage -Avec soin tout de même pour plaire à l'inviter peut-être masculin-avec une paire de guêtres. J'enfillait tous ça tout en déscendant les grandes marchent pour voir qui sonnait si tôt dans l'après midi.

C'était une jeune fille de mon âge. Elle était plutôt jolie et avait un style vestimentaire assez " rock ".

- Albert, voudriez-vous nous apportez deux sodas dans ma chambre? Demandais-je avec l'intention de discutez avec cette personne.

- Certainement Mlle June. répondit le majordome.

J'attrapa la main de la fille et l'emmena dans ma chambre, en prenant soin de sourire. Mon chère sourire espiègle. Toi, mon meilleure amie qui m'aide à me sentir bien. Sur toi au moins, je peux compter.

- Alooors... Qu'avons-nous la? Je lui fis un grand sourire spontanée.

La jeune fille ne parût pas comprendre immédiatement. Comme stupéfaite par je ne sais quoi.

- Comment tu t'appelles?

- Ashley Green. répondit-t'elle un ton légerement surpris.

- Et... Quelle est cette histoire de... Cousinerie? Du sang en commun? Ce serait marrant. J'ai peu de famille. Alors? Continuais-je en regardant le jeune blonde.